Vanilla - « Because vanilla is not ONLY a sweet flower. »

Vanilla Sparlin

ft. kristen dunst

# Age : 17 ans # Année d'Etude : 7e Année # Ascendance : Sang Pur # Origines : Anglaises et Galloises # Baguette Magique : Bois de saule, 28 cm & crin de licorne # Patronus : Furet # Epouvantard : Des Fangieux # Sort Favoris : Glacius

# Qualités principales : énergique, franche, persévérante, souriante, téméraire
# Défauts Principaux : bavarde, colérique, impulsive, naïve, rancunière

# Question 1 : Alors que vous marchez tranquillement dans les couloirs déserts en direction de votre salle commune, voilà qu'une ombre se découpe sur les murs, effrayante et appartenant sans aucun doute à une créature venue des tréfonds des ténèbres pour vous enlever.

c. Vous restez statique, les bras croisés. Lorsque cette chose approchera, vous pourrez apercevoir son visage : l'élève responsable de cette mascarade n'aura pas assez de sa scolarité pour payer le prix de cette frayeur.

# Question 2 : Dans le parc, tout est calme. Les oiseaux chantent, le soleil brille... Et Miranda Keller arrive en courant vers vous, en larmes : son petit ami a mis fin à leur relation parce qu'il était subitement tombé amoureux d'une autre fille, à ce qu'il lui a dit. Vous soupçonnez le pauvre garçon de ne plus supporter ce pot-de-colle plus bavard qu'un perroquet.

b. Ni une ni deux, vous vous précipitez vers le garçon en question pour lui demander des comptes: on ne fait pas pleurer une fille!

# Question 3 : Catastrophe! Vous avez complètement oublié de faire les 3 rouleaux de parchemins demandés par le professeur de métamorphose et le cours est dans moins de vingt minutes.

c. Les mains dans les poches, vous allez en cours avec un sourire et déclarez au professeur que vous auriez aimé le faire, mais que les circonstances ont joué contre vous.

# Question 4 : Voldemort en personne frappe à votre porte (enfin... lui jette un sort de destruction, mais à quelques différences près...) et vous demande de faire partie de ses fidèles étant donné votre énorme potentiel magique.

d. Vous ne faites pas attention à sa proposition, réfléchissant à la façon dont vous allez bien pouvoir remplacer votre pauvre porte.

# Question 5 : C'est l'heure de votre cours de Sortilège et vous êtes très en retard. Vous courrez dans les couloirs déserts lorsque vous entendez un cri. Un élève git par terre, sans doute inconscient.

c. Il faudrait appeler un professeur, mais vous ne pouvez laisser l'élève seul. En désespoir de cause, vous lui donnez de petites tapes sur les joues.

# Qui est le maître du monde ? Okay by Vanouille



Spoiler:

« When I realized that I was not a princess. »
Quand j’étais petite, je vivais dans un manoir familial en plein cœur de la campagne galloise. Parce qu’il n’y avait rien autour, nous avions plus qu’un jardin. Mes parents appelaient cela un domaine. Le domaine Sparlin… Rien que le nom donne envie n’est-ce pas ? Et je régnais littéralement sur ce domaine. Mes parents me traitaient comme une princesse, ils m’achetaient tout ce que je voulais, cédant au moindre de mes caprices. Et même s’ils n’étaient jamais à la maison, et que ces cadeaux représentaient plus ou moins tout ce que mes parents étaient en capacité de me donner, pour une gamine de cinq ans, c’était tout simplement des parents géniaux. Et puis j’avais mes frères : Opallius et Naxos. Ce n’est pas comme si j’étais vraiment toute seule au manoir. Certes, ils rechignaient un peu à être sous mes ordres mais étrangement, je connaissais tous leurs secrets, que je pouvais éventuellement révéler aux parents en cas de rébellion. Donc en résumé, ils me traitaient aussi bien que mes parents, si ce n’est mieux. Pour couronner le tout, mes parents organisaient régulièrement des réceptions. C’était parfois pour le réveillon de Noël, celui du Nouvel An, Halloween, un anniversaire, ou tout simplement une soirée où se retrouvaient tous les sangs purs (ou presque) du Royaume Uni et d'Irlande. Ces soirées n’étaient pas toujours organisées par mes parents, elles changeaient d’endroit tous les ans. Mais comme nous avions un manoir immense, avec plein de chambres libres, il était évident que cela arrangeait beaucoup de monde d’y aller. Et tous les gens présents à ces réceptions m’adoraient. Ils me trouvaient belle et mignonne. Bien entendu, je ne faisais rien pour les contredire : j’appréciais mon règne.
Et c’est lors d’une de ces soirées que je retombai lourdement sur terre. J’avais sept ans, en temps normal, je restais avec mon frère Opallius, Naxos étant en troisième année à Poudlard. Mais à cette soirée, ma mère avait décrétée que je devais rester avec elle. J’avais protesté, j’avais tapé du pied, j’avais soufflé, j’avais crié, j’avais trainé les pieds, j’avais cassé un vase qui devait valoir plus de trois milles livres… Rien n’y faisait. Ma mère ne cédait pas. Et mon père était en voyage d’affaire. J’étais tout simplement dégoutée. Mais mon frère, lui, était on ne peut plus heureux de ne pas m’avoir sur le dos toute la soirée. Et puis ma mère m’a emmenée dans son salon personnel. Mes frères et moi n’y avons jamais été, elle nous l’a toujours formellement interdit… Bon, j’y avais déjà été, je n’ai jamais aimé les interdictions. Mais enfin, j’avais l’autorisation d’y aller pour de vrai cette fois ! Sur le moment, j’ai pris ça pour une conséquence directe de mon statut de princesse. Et puis j’ai vu qu’il y avait quelqu’un d’autre. Une veille dame que je n’avais jamais vu.

MAMAN « Bertille. La voilà. »
BERTILLE « Bien. Vous pouvez disposer Lucy. »

Cela m’avait rendue perplexe, habituellement, c’était ma mère qui disait cela aux gens, pas l’inverse. Lorsque que la vieille dame me demanda de m’assoir sur le fauteuil d’en face, je n’hésitai pas une seconde. Je voulais savoir qui était cette femme. Je me rendis alors compte qu’elle me fascinait, elle paraissait impressionnante. Trop peut être.

BERTILLE « Bonsoir jeune demoiselle, je suis Bertille Sparlin, ta grand-mère. »
MOI « … »
BERTILLE « Tu pourrais me dire bonsoir, cela serait poli. »
MOI « Heu… Bonsoir. »
BERTILLE « Bien, recommençons. Bonsoir, je suis Bertille Sparlin, ta grand-mère. »
MOI « Bonsoir. »
BERTILLE « Ta mère ne t’as donc rien apprit ? Elle et sa conception de l’éducation... La même que ton père… »
MOI « Hum… J’ai eu des précepteurs… »
BERTILLE « Qui t’ont enseigné quoi ? »
MOI « Le piano… Les mathématiques, l’anglais… »
BERTILLE « Stupidité. »
MOI « C’est vous la stupidité. »
BERTILLE « Je te demande pardon ? Ah ! Elle est belle l’éducation, effectivement ! Quelle réussite ! Laisses-moi te dire ma fille que tu ne rediras jamais ça à qui que ce soit. »

Et je n’ai plus jamais dit à qui que ce soit que c’était une stupidité après être sortie du salon. Et je n’ai plus jamais prétendue être une princesse non plus. En effet, comme le dit le proverbe « Qui fait le malin tombe dans le ravin. », et c’est exactement ce qui s’est passé. J’étais tombée de haut.
Depuis, ce n’est pas l’amour fou entre ma grand-mère et moi.


« Come on honey, we’ll see the lake… »
Le lac. AH LE LAC! Je hais ce lac… J’y ai passé tellement de vacances ennuyeuses en compagnie de mes grands parents. Bon… Ce n’était pas la mort non plus. J’avais à manger tous les jours, ils ne me jetaient pas de mauvais sorts pour me faire comprendre mes bêtises, ils m’achetaient des chaussettes quand les miennes étaient trouées… Bref, je ne mourrais pas. Pas vraiment. Mais j’ai faillit. C’est sans doute pour ça que je n’ai pas de grandes affinités avec ce lac. CE LAC VEUT MA MORT. Bon, d’accord, une fois c’était plus une peur bleue que la (presque) mort, mais quand même ! Je vais vous raconter la première fois que j’ai frôlé la mort au lac.
Mes frères avaient trouvés un nouveau jeu pour passer le temps : m’embêter. Mes grands-parents n’étaient pas aussi gentils avec moi que mes parents, ils préféraient mes frères. Ils les préfèrent toujours d’ailleurs. Le fait que je sois allée à Gryffondor n’a rien arrangé. Enfin… Je crois que mes grands-parents me préfèrent à Opallius maintenant. Question de principes, il n’écoute aucun des conseils de ma grand-mère. Et Bertille n’aime pas qu’on l’ignore. Bref, mes frères avaient décidés de m’embêter. Ils me poursuivaient dans les bois et je finissais toujours par me perdre. Cela dit, je finissais toujours par retrouver mon chemin quand je commençais à avoir vraiment faim. (Et comme par hasard, JE me faisais enguirlander parce que JE m’étais perdue…) Ou sinon, un autre jeu qui les faisait mourir de rire, m’enfermer dans la cave. Cela dit, ils ont moins fait les fiers le jour où JE les avais enfermés dedans à la maison, pour me venger. Héhé… C’est qu’ils sont courageux mais pas téméraires les pauvres. Mais surtout, LE JEU, c’était de me jeter dans le lac quand je dormais, sans que je me réveille avant. Ca marchait assez rarement cependant, ils n’ont jamais été dans le genre discret quand ils préparent un mauvais coup. Mais ils ont tout de même finit par réussir. Et j’ai faillit me noyer. Parce c’est qu’il est profond ce lac, en plus ! Mais je ne suis pas morte. De la même façon que je retrouvais toujours mon chemin dans les bois quand j’avais faim, j’avais réussit à sortir de l’eau en un temps record pour éviter l’asphyxie. Et pour une fois, mes grands-parents ont été gentils avec moi et très méchants avec mes frères, ça faisait agréablement plaisir. J’avais même eu droit à un gros paquet de patacitrouilles. Dommage que ça n’ai pas duré.
La seconde fois où j’ai frôlé la mort dans ce lac, c’était quand on était allé pêcher, avec mon frère. Naxos était partit en Russie avec mon père, résultat, j’étais toute seul avec Opallius… Et on s’ennuyait vraiment beaucoup. Tout ce qu’on a trouvé à faire, c’était d’aller pêcher. Et forcement, arrivés au milieu de lac dans notre super barque, il me pousse dans l’eau. Je ne dirais pas que je ne m’y attendais pas, ce n’était pas le cas. Mais j’eus quand même la peur de ma vie. LES BOUTS DE BOIS QUI ETAIENT SUR L’EAU BOUGEAIENT ! Pire, ils avaient des bouches avec d’immenses dents pointues. Je crois n’avoir jamais autant crié de ma vie. ET CA MORDAIT EN PLUS. ET CA LE FAISAIT RIRE L’AUTRE LA ! Finalement, il m’a tout de même aidé à remonter sur la braque, voyant que j’avais vraiment mal (gentil le frérot). Et depuis, je ne me suis plus jamais approchée d’un lac avec des bouts de bois qui flottaient. Je ne suis plus jamais allée pêcher. Et mieux, je ne suis plus jamais allée en vacances chez mes grands-parents…


« Because astronomy sucks! »
UN AN DANS LE FUTUR…
DIRECTEUR « Quel est votre nom ? »
MOI « Sparlin. S.P.A.R.L.I.N. Vanilla. »
DIRECTEUR « Bien. Mademoiselle Sparlin, qu’est-ce qui vous fait croire que nous allons vous recruter ? »
MOI « Heu… Il faut être diplômé d’Harvard pour être caissière ? »
DIRECTEUR « Peut être. Dois-je en conclure que vous ne l’êtes pas ? »
MOI « Est-ce que vous croyez vraiment que si je l’étais je serais là ? »
DIRECTEUR « Etre caissier est un métier important. »
MOI « Dommage que la salaire ne suive pas. »
DIRECTEUR « Pourquoi n’avez-vous aucun diplôme sur votre CV ? »
MOI « Je doute que ce soit des diplômes qui vous intéresse. »
DIRECTEUR « Vous êtes sûre ? »
MOI « Absolument. »
DIRECTEUR « Tu ne me reconnais pas Vanilla ? »
MOI « Je… Je devrais ? »
GRAND PERE « Ho que oui. »
MOI « Grand-père ? »
GRAND PERE « Alors comme ça tu désires être caissière d’un supermarché moldu ? Tu n’aurais pas raté tes ASPICS par hasard ? Tu sais ce qui va t’arriver ? »
MOI « NOOOOOOOOON ! Grand-père, sil te plait ! »

RETOUR AU PRESENT.
NAXOS « Tu peux arrêter ton délire cinq minutes et te concentrer sur ton travail ? »
MOI « A quoi ça sert ? Je vais me planter. »
NAXOS « Van… »
MOI « Mais j’ai eu un D ! UN D ! Et j’avais révisé ! »
NAXOS « Qu’est ce que tu entends par réviser ? »
MOI « … Bon d’accord, j’ai rien foutu… »
NAXOS « Je crois que nous venons de trouver le problème. »
MOI « OH LA FERME ! TOI T’AS TOUJOURS EU DES BONNES NOTES EN FOUTANT QUE DALLE ! »
NAXOS « Hé… Je suis là pour t’aider alors tu te calmes ! Sinon, je me casse ! »
MOI « C’est bon, je suis désolée. C’est juste que ça m’énerve. »
NAXOS « Sans blague ! Allez, essaie encore, tu vas bien finir par y arriver. »
MOI « OUAIS ! ON Y VA ! ET CETTE FOIS, ON VA Y ARRIVER ! »

Et malheureusement, j’eus de nouveau un D à la rentrée. L’Astronomie, ce n’était vraiment pas mon truc. Et je ne comprenais pas pourquoi. J’ai passé des jours à apprendre tout ce qu’il y avait à apprendre et… J’ai tout oublié le jour de l’interro, évidement. Et puis un jour, j’ai décidé de ne rien faire. Parce que j’en avais marre et qu’il y avait une fête chez les Gryffondor… Allez savoir pour quoi. Par conséquent, j’eus un autre D. Mais cette fois, je le pris avec le sourire, je l’avais mérité. J’ai essayé quelques autres fois de faire des efforts, on va pas dire que je sois quelqu’un qui renonce facilement, mais j’ai finit par ne plus rien faire du tout. C’est alors que m’est venue une révélation. Enfin, mon voisin en métamorphose a eu une révélation : l’astronomie, c’est nul. Comme aucun de nous n'étions nuls, nous ne pouvions pas être compatible avec l’astronomie : théorie véridique.
Cela dit, j’ai eu un E à mes BUSES. Deux solutions : Soit je suis devenue nulle et, par conséquent, devenue compatible avec l’astronomie ; soit la théorie était mauvaise.


« Home, sweet home. »
MOI « BON SANG MAIS C’EST PAS VRAI ! TU NE PEUX PAS TE TAIRE ! »
MAMAN « Chérie, tu voudrais bien arrêter de crier comme une marchande de potions ? »
MOI « Désolée m’man… Mais… MAIS TU VEUX BIEN ARRETER TES CONNERIES CINQ MINUTES ! »
OPALLIUS « C’est à un hibou que tu parles Van’… »
MOI « Sérieux ? J’étais persuadée de parler avec Merlin ! »
OPALLIUS « Je veux dire, tu parles à un hibou. Tu espères vraiment qu’il te comprenne ? »
MOI « Les hiboux de Poudlard sont intelligents, je ne vois pas pourquoi le mien est obligé d’être aussi débile… »
OPALLIUS « J’ai envie de dire, tel m... »
MOI « TU VEUX UNE BAFFE ? »
OPALLIUS « T’oserais pas. »
MOI « Tu paris ? »
OPALLIUS « Absolument. Deux gallions. »
« ZBAAAF ! »
MOI « Perdu mon gars… Deux gallions. »
OPALLIUS « Connasse… »
MAMAN « Opallius ! »
OPALLIUS « Désolé m’man. »
MAMAN « Mais par le caleçon de Merlin ! Tu vas entrer en septième année à Poudlard, jeune fille. Quand à toi, Opallius, tu travailles au Ministère de la Magie. Ne croyez vous pas que vous devriez vous comporter de façon… Responsable ? Ou du moins… Normale ? »
MOI « Cela signifie que tu nous trouves anormaux ? »
MAMAN « Non. Juste que vous vous comporter de façon anormale pour des jeunes gens de vos âges. »
MOI « M’man… Il passe ses journées à lancer des boulettes de papier dans une corbeille. »
MAMAN « La question n’est pas là. »
MOI « Bah… Un peu quand même. On a pas besoin d’avoir une conduite exemplaire pour gagner le concours de paniers de boulettes de papier. »
MAMAN « Et tes ASPICS à toi ? Une conduite exemplaire ne t’aiderais pas par hasard ? »
MOI « … Je n’ai jamais été convoquée chez qui que ce soit… »
MAMAN « Pas encore. »
MOI « T’es méchante là. »
MAMAN « Non. Réaliste. Sur ce, je vais travailler, moi. »
MOI « … Tu sais quoi ? Tu devrais te trouver un vrai travail Opa. »
OPALLIUS « Mais j’ai un vrai travail… C’est juste qu’il est top secret et que je ne fais rien quand tu viens me voir, pour ne rien te communiquer. »
MOI « Tu déconnes, hein ? »
OPALLIUS « … »
MOI « Naaaaan… »
OPALLIUS « ET TA BOTANIQUE, COMMENT CA AVANCE ? »
MOI « Oh zut. »
OPALLIUS « C’est quoi ce zut ? »
MOI « La rentrée c’est dans deux jours. »
OPALLIUS « Et ? »
MOI « Et j’ai rien foutu en botanique… »
OPALLIUS « J’ai cru remarqué. Le seul bouquin que t’as ouvert de tout l’été, c’était le livre des créatures fantastiques... Pour voir s’il n’y avait pas de fangieux chez les Levington... »
MOI « Oh chut, c'était important comme recherche. Et puis, j’ai une idée. »
OPALLIUS « Okay, je m’en vais. »
MOI « Pourquoi ? »
OPALLIUS « Parce que tes idées sont toujours foireuses… Et que je n’ai pas envie de me faire renvoyer. »
MOI « Tsss… Trouillard. »
OPALLIUS « Non, prudent. Tu devrais essayer, ça te sauvera peut être la vie un jour… »
MOI « C’est ça, travailles bien sur tes dossier top secrets... »