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 Nolan Quigley ; Petit Agité.

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Nolan Quigley
    I'M NOT BRITISH ▬ audaces fortuna juvat

Nolan Quigley


— nombre de messages : 591
— date d'inscription : 04/03/2008


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MessageSujet: Nolan Quigley ; Petit Agité.   Nolan Quigley ; Petit Agité. EmptySam 27 Fév - 19:51

    Nolan Quigley


    ft. Robbie Wadge.

    Nolan Quigley ; Petit Agité. Jilh
    # Age : 17 ans.
    # Année d'Etude : 7ème Année.
    # Maison : Poufsouffle ?!
    # Ascendence : Né-moldu.
    # Origines : Irlandaises et Ecossaises.

    # Baguette Magique : Mesurant 26.5 cm. Elle est en bois d'Ajonc, symbole des chemins menants à un but. Elle possède une écaille de dragon.

    # Patronus : Loup.
    # Epouvantard : Le spectre de la mort.
    # Sort Favori : Flambios.

    # Qui est le maître du monde ? VALIDE. C'est moi-même; le choixpeau tout le monde le sais.
    # Qualités principales : Dynamique, extraverti, franc, fougueux, joueur, malin, rêveur, social, souriant, tolérant.

    # Défauts Principaux : Beau-parleur, désobéissant, éhonté, impatient, insolent, irritable, têtu, turbulent, (Peut être) violent, volage.

    # Question 1 : Alors que vous marchez tranquillement dans les couloirs déserts en direction de votre salle commune, voilà qu'une ombre se découpe sur les murs, effrayante et appartenant sans aucun doute à une créature venue des tréfonds des ténèbres pour vous enlever.

      a. Malgré vos frissons, vous vous approchez calmement de l'angle du couloir et découvrez face à vous la chatte de Rusard. Ouf, sauvé.

    # Question 2 : Dans le parc, tout est calme. Les oiseaux chantent, le soleil brille... Et Miranda Keller arrive en courant vers vous, en larmes : son petit ami a mis fin à leur relation parce qu'il était subitement tombé amoureux d'une autre fille, à ce qu'il lui a dit. Vous soupçonnez le pauvre garçon de ne plus supporter ce pot-de-colle plus bavard qu'un perroquet.

      a. Vous la prenez dans vos bras et l'amenez à votre salle commune afin qu'elle se calme devant une bonne chocogrenouille.

    # Question 3 : Catastrophe! Vous avez complètement oublié de faire les 3 rouleaux de parchemins demandés par le professeur de métamorphose et le cours est dans moins de vingt minutes.

      c. Les mains dans les poches, vous allez en cours avec un sourire et déclarez au professeur que vous auriez aimé le faire, mais que les circonstances ont joué contre vous.

    # Question 4 : Voldemort en personne frappe à votre porte (enfin... lui jette un sort de destruction, mais à quelques différences près...) et vous demande de faire partie de ses fidèles étant donné votre énorme potentiel magique.

      c. Voldemort, ici? A l'attaque!

    # Question 5 : C'est l'heure de votre cours de Sortilège et vous êtes très en retard. Vous courrez dans les couloirs déserts lorsque vous entendez un cri. Un élève git par terre, sans doute inconscient.

      c. Il faudrait appeler un professeur, mais vous ne pouvez laisser l'élève seul. En désespoir de cause, vous lui donnez de petites tapes sur les joues.


Dernière édition par Nolan Quigley le Dim 7 Mar - 18:38, édité 8 fois
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Nolan Quigley
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Nolan Quigley


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— date d'inscription : 04/03/2008


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MessageSujet: Re: Nolan Quigley ; Petit Agité.   Nolan Quigley ; Petit Agité. EmptySam 27 Fév - 19:52

      # « Amhrán na bhFiann » ou « A Soldier’s Song »
        [Hymne national de la République d’Irlande]


      NOLAN - « Tu viens jouer avec moi ? »
      EOIN - « Pas maintenant, peut-être plus tard. »

    Le petit bambin aux cheveux d’un noir des plus profonds, tourna alors les talons et fila dans sa chambre. Il n’avait que quatre ans et déjà un fort caractère s’était dessiné sous sa petite tête. Mais aujourd’hui, c’était différent. Depuis quelques temps, Nolan s’était trouvé un nouveau jeu lorsque son paternel ne voulait pas s’occuper de lui. D’ailleurs, Eoin devait souffler intérieurement : il n’aurait pas à subir les caprices de son fils aujourd’hui. Pourtant, les conséquences de sa progéniture seraient bien pires.

    Nolan aurait pu tout avoir pour être heureux. Pourtant, un bémol fit en sorte que sa vie soit différente. Il n’avait pas été désiré par ses parents. Pour comprendre cela, il faut remonter à la rencontre de ses parents. Eoin était un Ecossais, plutôt beau garçon d’ailleurs. Beaucoup de gens avaient l’image d’un garçon plutôt distant et taciturne, qui savait tout de même se faire entendre, lorsqu’il le fallait. Pour le besoin de ses études, il quitta Glasgow et se rendit à Dublin, en Irlande. Là-bas, dans son Lycée, il rencontra une jolie brune du nom d’Aideen. Il ne fallut pas longtemps pour que ces deux-là terminent dans les bras l’un de l’autre. A l’issue de leur scolarité, Eoin prit une grande décision : il allait rester en Irlande, pour Aideen. Le couple habita dans un petit appartement dans le centre-ville de Dublin. Ils étaient bien là, à proximité des parents d’Aideen, du boulot d’Eoin qui était devenu cafetier et de celui de la jeune femme qui travaillait dans une petite boutique. Quelques mois plus tard, Aideen était enceinte de Nolan.

    Mais où était le malheur ? Leur situation financière trop peu stable ? Leur histoire d’amour qui venait de débuter ? Leur jeunesse éternelle qui s’envolait d’un coup ? Tout cela leur fit peur, et l’idée de se débarrasser de l’enfant dès les premiers mois de la grossesse d’Aideen intervint. Heureusement pour le futur Nolan, sa grand-mère interdit sa fille de faire une telle chose. D’ailleurs, elle et son mari se proposèrent pour les aider. Ce fut alors très simple : Aideen et Eoin étaient forcés d’attendre leur enfant. Dans la joie et la bonne humeur. Huit mois plus tard, le petit garçon prit sa première bouffée d’oxygène dans un hôpital de Dublin.

    Capricieux, impatient, têtu, turbulent, Nolan fit rapidement tourner la tête de ses parents. Ils n’avaient que très peu d’autorité sur lui. Ils avaient certainement peur de mal faire. Le petit avait alors tout ce qu’il voulait, lorsqu’il le voulait. Nolan était un enfant roi.

    Alors que Nolan venait de fêter ses quatre ans, Aideen et Eoin prirent la fâcheuse manie de se disputer, pour un tout et un rien. Et cela partait dans des proportions exceptionnelles. Combien de fois Nolan avait-il vu sa mère pleurer ? De trop nombreuses fois, certainement. Pourtant, Eoin n’était pas quelqu’un de violent. Le petit bambin essayait inconsciemment de profiter de la situation. Il pouvait ainsi tirer n’importe quoi de ses parents. Même si à cet âge, Nolan avait trouvé une autre occupation lorsque ses parents ne voulaient pas s’occuper de lui.

    En effet, Nolan s’aventurait seul dans son immeuble le temps que ses parents se prenaient la tête. Cela lui évitait de subir les disputes et de se retrouver injustement au milieu. Finalement, il trouva un nouvel endroit de jeu : l’appartement de la voisine du dessus. Sa porte n’était jamais fermée à clé. C’était une jolie blonde, célibataire, approchant la trentaine qui s’était installée en centre-ville il y avait quelques années. Elle n’avait jamais vu Nolan rentrer dans son appartement, pourtant, elle aurait dû se douter de quelque chose. Mais rien n’y fit. En effet, Nolan se rendait chez elle, et s’amusait avec ce qu’il trouvait. La majorité du temps, c’était avec des vêtements. Pas de quoi se travestir mais tout de même. Rapidement, il ramena un, puis deux, puis trois habits dans sa propre chambre d’enfant. Il les rangeait dans son armoire et les ressortait de temps en temps sans raison.

    Aux six ans de Nolan, Aideen trouva ces vêtements, mais elle ne remit pas une seule fois en cause son fils. Le jeune garçon avait d’ailleurs oublié l’existence de tout ça. Lors d’une nième dispute, la belle Irlandaise sortit cet argument contre son mari. Ce dernier ne sut pas prouvé que ce n’était pas lui. Quelques jours plus tard, le divorce était prononcé.

    Eoin quitta alors l’Irlande et partit de nouveau vivre à Glasgow, en Ecosse, tandis que son ex-femme resta à Dublin, près de chez ses parents. Nolan fut partagé entre ses deux pays et leurs différences. Pourtant, il passait la majeure partie de son temps chez sa mère. Il se retrouvait en Ecosse seulement certains week-ends et vacances.

    Au début, Aideen fut longtemps inconsolable. Ses parents s’occupèrent alors de Nolan. Il reçut une éducation légèrement plus centrée, même si rien n’y fit : son caractère était déjà acquis. Ils cherchèrent à lui trouver une occupation. Le déclic se fit à ses six ans, lorsque son grand-père l’emmena à un banal match de rugby de l’équipe nationale d’Irlande. Les yeux marron du bambin s’étincelèrent devant le monde des tribunes : voir les quatre-vingt mille personnes du Croke Park de Dublin se lever pour chanter l’hymne national irlandais. Bien qu’extrêmement jeune, Nolan comprit ce qu’était la fierté, sa fierté à lui était son pays d’origine.

      # « You’ll never walk alone »
        [Chanson chantée par Christine Johnson, reprise par Elvis Presley et Pink Floyd. Chants de supporters des clubs de football de Liverpool et des Celtic de Glasgow]


    La vie dans les années soixante n’était pas évidente. D’autant plus que les relations entre le Royaume-Uni et l’Irlande n’étaient pas au beau fixe, pour des raisons politiques et essentiellement religieuses. Nolan souffrit rapidement de la séparation de ses parents. Les remarques et les critiques du monde enfantin étaient durs. Parfois, le jeune Quigley sentit son honneur bafoué et dès ses sept ans, il ressentit le besoin d’utiliser ses poings pour faire taire de mauvaises langues sur son dos.

    Nolan ne fut pas un enfant facile. Turbulent, bagarreur, effronté avec les inconnus, Aideen ne trouvait aucun moyen pour calmer son fils. De plus, elle n’avait aucune nouvelle de son ex-mari. Elle aimerait pourtant connaître ses secrets : à chaque fois que Nolan revenait de Glasgow, il était plus souriant, plus calme. Rien n’y fit. Aideen ne trouvait pas les secrets d’Eoin, et devait garder son calme auprès de son fils, tentant de garder un minimum d’autorité face à lui. Il n’avait que sept ans. Qu’est-ce que ce serait lorsqu’il serait plus vieux ?

    Eoin avait reprit sa vie d’adolescent, à Glasgow. Les copains, les fêtes, le travail, et la recherche d’une nouvelle femme. Il avait su oublier Aideen même si Nolan le lui rappelait à chaque fois. Même si dans le fond, lui, il l’aimait ce gamin. Rapidement, Eoin prit la décision de lui montrer la vie qu’il avait lui-même vecu à Glasgow. Les deux Quigley quittèrent alors leur appartement. Quelques minutes plus tard, ils se retrouvèrent dans le centre-ville de la capitale Ecossaise. La foule avait pris possession des rues, des chants émergés des bars. Tout le monde se dirigeait vers un même point, avec le même enthousiasme. Nolan ne comprenait pas encore ce qui se passait. Ils arrivèrent alors au Celtic Park. Un immense stade de soixante mille places de Glasgow. Rapidement, Nolan et son père se retrouvèrent en tribune, attendant que quelque chose se passe. La petite tête brune demeurait inquiète devant le mutisme de son paternel.

    Aux environs de quinze heures, une musique se lança des enceintes aux quatre coins du stade. Le public se leva alors comme un seul homme. Nolan remarqua que tout le monde était vêtu pareil, de manière approximative. En tout cas, chacun tendit son écharpe verte et blanche au-dessus de sa tête. La voix qui sortait des enceintes se mit à entonner un chant que tout le public reprit. Vingt-deux hommes entrèrent alors sur la pelouse. Ils observèrent un protocole durant lequel ils se serrèrent la main, puis se dispersèrent sur le terrain. La musique se coupa mais le public continua la chanson, seul. Les voix à l’unisson des supporters des Celtics Glasgow retentissaient à chaque début de match, finissant par un « You’ll never walk alone », montrant leur soutien envers les onze hommes qui étaient habillés de leurs couleurs sur la pelouse. Nolan resta fasciné par l’ampleur de ce chant, la fierté de porter ces couleurs, et la fierté que dégageait ces gens. Le petit bambin comprit alors l’attachement d’Eoin pour l’Irlande et pourquoi il avait rencontré sa mère là-bas alors qu’il était Ecossais : Ce club fut fondé au milieu de la communauté catholique et irlandaise de Glasgow.

    Même dans le monde du football, Nolan aurait pu mal tomber. Les années soixante marquaient un nouveau mouvement dans les stades d’Angleterre, aux portes de l’Ecosse : Le Hooligalisme. Son côté bagarreur aurait pu alors s’accentuer, heureusement que le phénomène fut moindre de ce côté de la frontière.

    Déjà petit, Nolan nourrit un amour inconditionnel pour son pays, ses couleurs, ses traditions. Ces choses le fascinaient, et c’était en toute logique que sa couleur préférée était le vert. Il tomba amoureux du monde des tribunes, et il tentait de convaincre sa mère de le renvoyer en Ecosse toutes les deux semaines pour se rendre au stade avec son père. Pourtant, chez sa mère, Nolan redevenait le petit diable qu’il était auparavant. Il n’arrivait pas à se tenir convenablement. Aideen dût prendre les grands moyens pour le calmer : Nolan fut envoyé dans une école catholique à neuf ans.

    L’éducation y fut plus stricte et rude. Nolan fut cautionné, ses bêtises s’y firent plus rares. Et il fut forcé de se plier aux lois de la religion. L’effet se remarqua rapidement, sa mère était plus tranquille les week-ends et elle appréciait la compagnie de son fils, lui faire découvrir des choses et faire des activités avec lui. L’enfant terrible s’était transformé en un enfant normal. Son éducation plus religieuse ne le poussa pas à croire en tout ça, où du moins, à ne pas croire à tout ça. Mais il y fut attaché. Plus tard, à l’approche de ses seize ans, Nolan se fera tatouer une croix celtique, symbole du christianisme irlandais sur l’intérieur de son avant-bras droit.

    La deuxième période de sa vie, entre ses six ans et ses dix ans, fut basculée par le divorce de ses parents. A cause duquel, il devint l’enfant terrible qu’il ne fallait pas. Il se calma grâce à sa passion des tribunes et du football grâce au Celtic de Glasgow, mais aussi par l’amour pour son pays, ses couleurs et sa religion. Nolan approchait dix ans, il restait le même dans une version plus calme et soft. Pourtant, sa vie allait une nouvelle fois changer, à dix ans.

      # « But don’t judge on what you see »
        [Chanson du Choixpeau Magique en 1991]


    A l’approche de ses onze ans, Nolan reçut une étrange lettre. Ce fut chez sa mère qu’un hibou arriva à toute vitesse, s’écrasant contre la vitre de leur petite cuisine. Sa mère mit du temps à comprendre la lettre signée au nom d’Albus Dumbledore. Finalement, avec beaucoup de mal à y croire, Nolan se retrouva sur le Quai de la Gare de King Cross le jour voulut. Il fut envoyé à Poudlard et comprit réellement l’existence de ses « pouvoirs » et du monde magique. Un rêve de gamin qui se réalisait en quelque sorte.

    A Poudlard, Nolan fit de nombreuses rencontres et se forgea rapidement sa réputation. Dès sa première et sa seconde année. Réputée comme quelqu’un de légèrement fou, tout le monde savait qu’il était capable de tout, strictement tout. Notamment à cause de ses origines. L’une de ses premières revendications à Poudlard fut ses plus grandes fiertés : d’où il venait. Il affichait fièrement son appartenance aux nés moldus. Mais aussi, sa fierté Irlandaise prenait rapidement le dessus. Comme en témoigner son tatouage sur son avant-bras, en forme de croix celtique. Ce fut ainsi qu’il prit ses premières heures de colles. A cause de vulgaire dispute sur l’idée de savoir ce qu’était le mieux entre les quatre contrées du Royaume-Uni et son Irlande natale.

    Joueur, Nolan était amateur de pari en tout genre. Il était capable de tout et n’importe quoi. Il n’était pas rare de voir le jeune Quigley dans des situations plutôt insolites. Sans gêne, sans honte, il en sortait toujours la tête haute. Il les gagnait tout le temps. A un tel point, que presque pu personne ne voulait encore en faire avec lui.

    Outre cet aspect bon joueur, il était mauvais de se mettre en travers de son chemin. Plusieurs personnes de l’école en avaient fait les frais. Notamment à cause de ses réactions parfois violentes. Que ce soit physiquement ou vocalement. Nolan avait parfois tendance à s’énerver rapidement et perdre son sang froid lorsqu’on l’attaquait personnellement. C’était d’ailleurs pour ça, qu’il n’était pas rare de le voir finir à l’infirmerie. S’il était un enfant fin et fragile étant petit. Lors de son adolescence, ce trait physique ne changea pas beaucoup. Dans un duel, Nolan faisait rarement le poids. Mais les coups, il savait les encaisser.

    Dernier point de caractère qui était ressorti de ses six premières années à Poudlard, était son côté volage. Il savait jouer du charme des jolies filles de son âge. Charmeur, volage, beau-parleur. Tant d’adjectif qui pouvaient lui correspond. L’amour, pour lui, était quelque chose de vague et d’éphémère. Après tout, le point de vue de l’amour que ses parents lui avaient donné était plutôt abstrait. Il était presque logique qu’il tourne comme ça. De toute façon, une relation adolescente et éphémère n’avait jamais fait de mal. Peut-être que si, finalement. En tout cas, personne n’avait décelé des peines de cœur chez Nolan. Pourtant, elles pouvaient exister. Ce qui était plutôt … Contradictoire ?
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Choixpeau
    vieille étoffe ; s'adresser aux messieurs et demoiselles dirigeants, pas à moi

Choixpeau


— nombre de messages : 79
— date d'inscription : 30/06/2009


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MessageSujet: Re: Nolan Quigley ; Petit Agité.   Nolan Quigley ; Petit Agité. EmptyDim 7 Mar - 22:32

    Bienvenue Nolan Quigley ; Petit Agité. 559181.
    Fiche validée.
    Après hésitation avec Gryffondor, je pense que Poufsouffle te conviendra mieux.
    N'oublis pas de remplir les champs de ton profil.

    Bon jeu sur Crac' :heart:
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MessageSujet: Re: Nolan Quigley ; Petit Agité.   Nolan Quigley ; Petit Agité. Empty

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