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 LET ME ALONE. (pv. effie&zeus)

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Félicie V. Jenkins
    frotte manche préférée
    de la divine divinité ♪

Félicie V. Jenkins


— nombre de messages : 74
— date d'inscription : 20/03/2010


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MessageSujet: LET ME ALONE. (pv. effie&zeus)   LET ME ALONE. (pv. effie&zeus) EmptyDim 21 Mar - 18:04

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i'll be angry if you wanna stay, let me alone, get out of there… Grise, voilà comment elle pouvait qualifier cette journée. Pourrie, serait aussi un bon adjectif. Le genre de temps qui ne pousse pas à sortir du lit, mais plus à y rester, à se pelotonner dans ses couettes. Oublier le monde qui nous entoure, oublier ses camarades, les cours. Juste dormir. Mais ça c’était sans compter sur ses camarades féminines, déjà activitées à se préparer sans discrétion. Elle regarde autours d'elle avec de petits yeux encore fatigués par la courte nuit qu'elle vient de passer. Du boulot, du boulot. Marvin lui a bien proposé de sortir avec lui la veille, mais elle n’avait pas pu accepter à cause de tous ce travail qu'elle devait effectuer. « …quelle heure ? » demande-t-elle à ma voisine. Sa voix est enrouée. Elle la racle à plusieurs reprises pour qu’elle s’éclaircisse, mais sans grand succès. Sa camarade pose son maquillage pour jeter un œil sur le réveil posé sur la commode en bois. Un bruit de surprise s'échappe de sa gorge. Félicie se relève sur ses bras et jete un rapide regard sur le réveil : onze heure. PAR MERLIN ! Elme voulait profiter de ce samedi matin pour réviser, la voilà bien attrapée. Elle pose ses pieds rapidement sur le sol glacé, ce qui lui tire une grimace, et elle enfile ses bottines. Elle a intérêt à se dépêcher si elle veut avoir terminée ce devoir de potion avant ce soir. "un minimum de 1500 mots", voilà ce qu'il était stipulé sur le poly. Elle ramasse un jeans, un t'shirt et un pull, puis se rend dans la salle de bain pour prendre une douche avant de partir travailler. Elle tremble. Effie déteste être en retard dans ses travaux. Surtout qu'elle avait promi à Marvin de sortir ce soir avec lui à Prés-au-lard. Et elle savait qu'avec lui, elle ne risquait pas d'y couper. Quittes à venir la chercher dans sa salle commune, il la trainerait à Prés-au-lard pour qu'elle sorte. Elle commença à se déshabiller et se positionna sous la douche. L'eau la détendit doucement. Le stresse disparut doucement lui aussi. il n'y avait rien de mieux qu'une bonne douche chaude pour avoir les idées en place.

« Mais qu’est-ce que tu fiches, Effie ? » Aïe. Cette voix elle la connait bien. Après avoir pris sa douche et avoir terminé ses travaux de botannique dans la salle commune des Serdaigles, elle avait complétement zappé de déjeuner. Et là, elle avait vraiment très faim, mais elle se devait d'arrêter d'y penser. Il fallait qu'elle reste concentrée sur son travail. Malheureusement, c'était à croire que personne ne voulait qu'elle le finisse ce travail. D'abord ses camarades, ce stupide réveil qui n'est pas fichu de sonner à l'heure qu'on lui indique et puis Marvin, maintenant, qui lui barrait l'escalier. Escalier qu'elle devait emprunter pour se rendre à la bibliothèque. « Oh, Marvin, c’est vraiment pas le moment là ! » dit-elle fatiguée. Ses cheveux attachés en un beau chignon et ses yeux noisettes un peu tirés par le manque de sommeil, lui donnait un air de femme d'affaire redoutable. « très bien, mais tu n’as pas intérêt à me poser un lapin… » « ok ok… » dit-elle en grimpant quatre à quatre les escaliers pour aller au quatrième étage. C’était samedi aujourd’hui et qui dit samedi dit qu’il n’y a plus un élève dans l’établissement magique. C'était parfois vraiment flippant de voir ça. Oui, car on ne sait jamais sur qui on peut tomber. Alors qu'elle essaie de se dépêcher pour atteindre la bibliothèque le plus rapidement possible, elle heurte soudain quelqu'un sur son passage. Déséquilibrée, elle tomba par terre et ses cours qu'elle tenait dans ses bras se déversèrent par terre. Elle frotta son poignet et un cris plaintif s'échappa de sa gorge. Mais loin d'être hargneuse, elle tenta de se relever. « fais attention la prochaine fois. »
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MessageSujet: Re: LET ME ALONE. (pv. effie&zeus)   LET ME ALONE. (pv. effie&zeus) EmptyDim 21 Mar - 20:18

as clumsy as you've been theres no-one laughing... ♪ La vie est un perpétuel recommencement. Tous les jours, c’est la même chose. On se lève, l’esprit embrumer par la nuit cauchemardesque que l’on vient de passer. On y songe et l’on se dit qu’il valait mieux que tout cela ne soit qu’un rêve. Que si tout avait été réel, la vie n’aurait pas eu le même sens. Oui mais voilà, ce n’était qu’un rêve, qu’un cauchemar. Sous mon lit, il n’y avait ni monstre poilu, ni ma mère fantasque et complètement givrée. Sous mon lit, il n’y avait que de vieilles chaussettes puantes que j’avais oublié de mettre dans le bac de linges sales. La vie était donc faite d’ennuie et d’éternel retour en arrière. Après s’être rendu compte que notre cauchemar n’était en fait que le fruit de notre imagination, on regarde le petit réveil posé sur la table de chevet. Nos yeux encore mi-clos cherche l’heure et lorsqu’ils aperçoivent avec horreur que la matinée est bien avancée, alors on saute d’un bon, d’un seul, de notre lit. On court partout. On demande à telle ou telle personne si elle n’a pas vu ceci ou cela. Et enfin de compte, lorsque l’on est prêt. Vêtu de la tête au pied, on pose à nouveau le regard sur cette heure tant redoutée et là… C’est le drame. La fatigue nous a trompés. Il n’est en fait que neuf heure et demie. Grr. M’apercevant de la supercherie, je cherche le coupable parmi ceux qui m’entoure. Cette petite blague peut-être digne de n’importe qui. Il faut dire qu’ils sont tous jaloux de ma supériorité. Mais est-ce de ma faute si la perfection ne s’intéresse pas à n’importe qui ? Ce qui m’amuse le plus, c’est qu’ils sont, pour la plus part de Sang Pur ou mêlé. Or moi, vulgaire Sang de Bourbe, je le dépasse tous de par ma valeur. C’est prétentieux de dire cela, pas vrai ? Je sais et je n’en ai que faire !

Tout le monde sait que je suis un tantinet narcissique. Tout le monde le sait et cela ne m’étonne donc plus d’être la proie de mauvaises blagues. Seulement, celle-ci était vraiment de mauvais goût, d’autant plus lorsque nous ne sommes qu’un samedi matin ! Je me suis fait avoir, comme un bleu. Courir partout à la recherche de ma robe de sorcier de peur d’être en retard, et finalement, n’être que la proie d’une blague vaseuse. Je ris jaune. Alors, je les dévisage tous, un à un. Regarde leurs regards rieurs les uns après les autres et commence à choisir mes victimes. Je ne suis pas du genre à encaisser sans rien dire. Surtout que cette histoire me va vraiment loin. Je tombe donc sur le premier petit con que je croise. « Très drôle, Stepper ! Vraiment, je suis hilare… ». J’attrape le col de sa chemise avec rage et le secoue. « Ne t’avise plus jamais de jouer au plus malin avec moi, pigé ? ». Il hoche fébrilement la tête je le lâche. Je lui tourne le dos et je l’entends jurer dans mon dos. Pourtant, je fins la surdité. Je n’ai pas envie de me prendre la tête de si bon matin. Maintenant que j’étais réveillé je n’avais plus qu’à occuper mon temps intelligemment. Déjà, je commençais par troquer ma robe de sorcier et son bel écusson vert et argent pour un jean noir et une chemise blanche que je fermais à peine. Après le tout, les petites lueurs de soleil qui transpercent la fenêtre me font dire que je ne risque pas d’avoir froid. J’enfile des baskets vieilles de cent ans et embarque un sac dans lequel je fourre livres en tout genre, parchemins en pagaille et plume à gogo. Oui, comme tout le monde le sait, je suis doué dans toutes les matières… Enfin, ça c’est ce que je prétends. À vrai dire, je suis un bien piètre élève. Aussi, lorsque je ne me balade pas dans les couloirs de Poudlard je suis à la bibliothèque entrain de travailler ardument.

Armé de tout mon matériel, je regarde une dernière fois l’heure et me rends compte que j’ai perdu pas mal de temps avec mes envies de vengeance. Il est déjà dix heures bien avancé. Je quitte alors mon dortoir et claque la porte derrière moi. Comme ça, ils sont tous au courant à quel point je suis énervé. Enfin, énervé c’est beaucoup dire. Parce qu’une fois la salle commune traversée et le premier étage escaladé je me sens déjà de meilleures humeurs. Croisant quelques personnes sur mon passage je m’autorise même quelques petits sourires. Presque arrivé à la bibliothèque, dans un couloir du quatrième étage je me heurte violemment avec quelqu’un. Je résiste évidemment au choc – je ne suis pas une chochotte – alors que celle-ci s’effondre au sol. Oups. J’ai toujours été très maladroit. C’est vraiment mon genre. Je pourrais regretter cette mésaventure mais non… Voilà, je me rends compte que la jolie brunette assise par terre est celle que je convoite depuis pas mal de temps. Félicie. Je la trouve d’une beauté infinie. Je la vis se frotter le poignet et pousser un petit cri de douleur. Une grimace de gêne s’installe sur mon minois. Je ne suis vraiment pas doué ! Elle tente de se relever tout en me mettant en garde « fais attention la prochaine fois. ». C’est ce que l’on me dit à chaque fois ! Je l’aide à se relever, en essayant de ne plus faire de bêtises cette fois. Lorsqu’elle est semble enfin tenir sur ses deux pieds, je me baisse et commence à ramasser ses bouquins qui se sont étalés partout autour de nous. « Je suis désolé. J’avais l’esprit ailleurs, je ne regarde pas où j’allais… ». J’ai rassemblé tout ses livres en un petit tas et je les ai sous le bras. Je lui tendrais bien mais soudain je me rappel quelque chose…

Je pose alors les livres sur le sol et m’enquiert d’attraper son poignet blessé. Je le caresse avec douceur du bout de mes lèvres comme s’il s’agissait de cristal que l’on pouvait briser par une simple vibration. Mes doigts courent dessus avec tendresse alors que je plonge mon regard dans le sien. « Tu n’as pas trop mal j’espère. Ce n’était vraiment pas voulu… ». Heureusement que ce n’était pas voulu ! Je suis vraiment un crétin parfois. Je me demande même pourquoi la perfection n’agit pas sans interruption ! Je lâche son poignet, conscient de peut-être aller trop loin pour elle. A cette idée, le feu me monte aux joues. « Je suis plutôt maladroit. Je pense que c’est de famille. ». Ma mère, cette folle est la pire des maladroites, c’est pour cela que je ne doute pas un instant que ce seul défaut fut son unique cadeau. « Comment puis-je me faire pardonner ? Et ne me dis pas que c’est inutile, j’y tiens ! ». Si elle acceptait, c’était plus un cadeau pour moi que pour elle.
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Félicie V. Jenkins
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Félicie V. Jenkins


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MessageSujet: Re: LET ME ALONE. (pv. effie&zeus)   LET ME ALONE. (pv. effie&zeus) EmptyDim 21 Mar - 21:09

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baby don‘t hurt me, don‘t hurt me, no more… « Fais attention la prochaine fois. » avait-elle dit sans même jeter un regard sur la personne qui l’avait contrainte à toucher le sol. C’est vrai que n’importe qui l’aurait certainement traité de tous les noms, mais Félicie était loin d’être aussi rancunière. Elle privilégiais toujours le dialogue serein à toutes paroles blessantes. C’est vrai qu’elle aurait très bien pu lui dire d’aller se faire voir lui et sa maladresse, mais elle était aussi fautive dans l’histoire. Si elle avait regardé devant elle, rien de tout cela ne serait arrivé. Par contre, si elle avait regardé qui était la personne qu’elle avait heurté, elle se serait certainement tous de suite enfuie en courant. Gaylord Zeus Overstreet. Elle en avait des frissons. Oui, il lui faisait vraiment très peur. Comment pourrait-il en être autrement ? Elle le voyait souvent l’observer de loin. Aucun garçon ne lui a jamais prêté de l’attention et c’est ce qui fait qu’elle commença à être terrorisé par Gaylord, sans jamais lui avoir parlé. Elle se fit des films dans sa tête, elle en rêvait même la nuit. Elle rêvait souvent qu’il l’attachait à une chaise et qu’il prenait un malin plaisir à la torturer. D’ailleurs la terreur était palpable dans le regard de la belle Serdaigle lorsqu’elle le vit. Pourtant, il n’était pas désagréable avec elle, mais elle était pétrifiée. Bloquée face à lui, elle n’arrivait plus à rien faire, comme paralysée. « Je suis désolé. J’avais l’esprit ailleurs, je ne regarde pas où j’allais… » lui dit-il d’une façon charmante, mais rien à faire. Effie essaya de se détendre. Elle avala un fois sa salive et réussit à peine à lui sourire. Il ramassa ses bouquins et les plaça sous son bras. Puis, étrangement, il les déposa à terre et prit son poignet. Le jolie Serdaigle tressaillit. Il fit preuve de douceur en lui prenant délicatement son poignet. Félicie ne bougeait plus d‘un pouce. Pourquoi la faisait-il souffrir autant ? Se demandait-elle intérieurement. « Tu n’as pas trop mal j’espère. Ce n’était vraiment pas voulu… » Elle hocha la tête. Ce contact la gênait énormément. Elle ne put s’empêcher de rougir et trouva un intérêt soudain à ses chaussures. « Je suis plutôt maladroit. Je pense que c’est de famille. » *Pourquoi me dit-il ça ?* se demandait-elle de plus en plus anxieuse. Elle regardait autours d‘elle afin de trouver une technique pour s‘échapper. « Comment puis-je me faire pardonner ? Et ne me dis pas que c’est inutile, j’y tiens ! » Est-il vraiment sérieux ou justement prend-il un malin plaisir à la manipuler pour la voir souffrir ? Marvin lui avait dit qu’il ne fallait pas se fier aux serpentards. Qu’ils n’étaient pas des gens de confiance. Qu’ils étaient sadiques, sournois, perfides, roublards et qu’ils n’hésiteront pas à abuser de sa gentillesse. Félicie ouvrit la bouche pour lui dire quelque chose, mais sa lèvre inférieur se mit à trembler et les larmes lui montèrent aux yeux. Elle voulut se contrôler, mais elle était beaucoup trop sensible et fragile. Elle se sentait toujours vulnérable face aux autres. « Je t’en prie…Je ferai tous ce que tu veux, mais ne m’attaches pas à cette chaise pour me torturer…Je t’en supplie… » (cf : au rêve.) dit-elle d’une petite voix silencieuse, mais assez forte pour que lui seul entende ses paroles.
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