Rodolphus L. ;

Invité

Code Ok ; Vio.
Ft Luke Grimes

« •• R o d o l p h u s _ L e s t r a n g e ;

nom ; L e s t r a n g e

Voilà un nom qui en fait trembler plus d’un. En effet, cela ne laisse pas indifférent. Tout le monde connait cette famille et tout le monde la craint. On ne cherche pas les Lestrange. Pour la simple et bonne raison qu’il font partie d’un cercle très fermés de famille de sang pur. Autant dur qu’ils sont crains… Ont pourrait même dire respecter, même si cela n’est pas le terme adéquat.

prénom ; R o d o l p h u s

Ma foi, il s’agit là d’un prénom des plus ordinaires. Il n’a aucune signification. Il a jute la chance d’être… joli? Oui, nous allons nous contenter de dire qu’il est joli. Et il a la seule particularité que comme tous les hommes de la famille Lestrange, son prénom commence par la lettre R. Peut-être qu’un jour lui-même donnerait à son fils la chance d’avoir cette initial. Mais comme on dit, chaque chose en son temps!

âge ; D i x - s e p t . a n s

A cet âge, le monde est indifférent. Certains, comme Rod, n'ont rien à gagner. Des places leur étaient réservées. Il a dix sept ans et il se comporte comme un vrai gosse. Oui, il aime faire le gamin et puis surtout, il aime s’amuser de gaminerie. Parce qu’après tout, il peut se le permettre. Ce n’est pas n’importe qui.

sang ; P u r

Les sorciers de sang pur sont des sorciers ne comportant aucun moldus parmi ses ancêtres, seulement des sorciers. Ce statut permet aux sorciers de sang pur de se prétendre supérieurs aux autres. Ce que bien entendu Rodolphus n’hésite pas à faire. Il est supérieur. Il le sait. Il l’a toujours été.

maison ; S l y t h e r i n

Il n'y a ni bien, ni mal, seulement le pouvoir et ceux qui sont trop faibles pour s'en emparer!

Invité

« •• C a r a c t è r e ;

U n . p e u ;

Cynique. Oui. Rodolphus à des idéaux biens distincts, mais il n’empêche qu’il voit la vie comme elle est. Il ne cherche pas à voir le monde sous un nouveau jour. En effet, Rod possède un humour noir à tout rompre. Parce que quoiqu’il arrive, il ne voit pas la vie en rose. Vert serait plus approprié. Parce que l’optimisme ne fait pas partie de son vocabulaire. Parce que les phrase ayant du mordant lui ressemble plus qu’un malheureux cri d’enthousiasme. Tout simplement, parce qu’il préfère voir les choses de manière plus choquante. Cela donne du piquant à sa vie et il trouve cela excitant. Dans le monde magique actuel, il n’y a pas de place pour l’humour peu subtile. Il n’y a pas de place pour vivre de manière simple et légère. Alors soyons cynique, montrons le monde sous son vrai jour et de manière si sanglante qu’enfin les gens ouvriront les yeux. Comme si cela ouvrait les yeux aux gens. Personnes n’a encore compris que les nés Moldus était d’une inutilité à tous. Personne n’a les yeux en face des trous selon le jeune Rod. Il aimerait qu’en fait les gens ouvrent les yeux et se joignent à lui et au seigneur des ténèbres. Mais… L’espoir fait vivre ne dit-on pas ? Oui, c’est cela. Sans aucun doute possible, ce que Rod vous répondrais à ça, serait: « L’espoir ? Fichtre mot à la con ! Mais qu’est ce qu’on en a foutre sérieux ? Les gens sont cons. C’est prouvé. L’espoir ne doit pas faire partit de notre vocabulaire ! Imbéciles. »

B e a u c o u p ;

Manipulateur. Oh bon sang ce que Rodolphus peut aimer jouer avec les autres. C’est son petit péché mignon. La manipulation des autres, c’est dans ses cordes. Il ne vit que pour ça. C’est une passion, une envie, un mode de vie littéralement. En plus, comment ne pas l’être lorsque tout le monde vous craint et que grâce à votre charmant minois tout le monde vous tombe dans les bras ? Je ne peux vous dire ce que ressent Rodolphus lorsque qu’il parvient à ses fins. Un bonheur intense l’envahit et une excitation profonde s’installe en lui. Il n’a qu’une envie, réitérer l’expérience. Oh quelle joie. Lorsqu’il parvient, sans grandes difficultés, à manipuler sa victime, Rodolphus se sent un peu comme le roi du monde. Dans ce moment il devient euphorique. Il fait d’ailleurs assez peur. Certains disent qu’il s’agit de folie passagère… Et bien non. Il s’agit juste de bonheur. Parce que oui, les seuls moments de véritables bonheurs que Rodolphus connait c’est lorsqu’il est le maitre de la situation. Que tout dépend de lui. Il est capitaine de son âme et maitre de son destin ! Oh oui. J’allais oublier. Il lui arrive parfois de jouer un jeu. De se faire passer pour un gentil toutou facilement domptable. C’est sa manière douce de manipuler autrui. Il n’est qu’une belle façade pour une pourriture d’intérieur !

P a s s i o n n é m e n t ;

Insoucieux. Il est évident que pour quelqu’un comme le jeune Rodolphus, dans la vie tout est acquis. On lui offre du bonheur sur un plateau d’argent, il n’a qu’à tendre la main et prendre tout ce qu’on lui offre. Et bien sûr, Rod adore ça. Il adore avoir ce qu’il veut et ce sans devoir bouger le moindre petit doigt. Il aime simplement obtenir les choses facilement grâce à son « prestige ». C’est en partie pour cette raison qu’il ne se tracasse pas pour des futilités. Après tout, a quoi bon ? Vous avez déjà vu un aveugle essayer de peindre un paysage ? Non. Forcément. Même si il le désirerait, il ne le pourrait pas. Et bien, pour Rod c’est pareil. Même si il voulait obtenir les choses par sa seule personne, il n’y parviendrait pas. Lorsqu’on nait Lestrange, on vit façon Lestrange. Et bien entendu, ils ont un mode de vie que bien des gens n’ont pas la chance de connaître. C’est donc sans se soucier du temps qui passe que Rodolphus vis sa vie. Il ne réfléchit pas, non, il n’a pas de temps pour réfléchir. Il agit. Est-ce bien ? Est-ce mal ? On s’en fiche. Il n’y a rien de mieux que d’être indifférent à ce qui nous entoure.

A . l a . f o l i e ;

Charmeur. « Crois moi bébé, jamais tu ne me résisteras. ». Voilà une phrase qui revient souvent dans le quotidien de Rodolphus. Il aime la gente féminine. Pire. Il ne peut s’en passer. C’est sans vergogne que le charmant Rodolphus Lestrange drague tout ce qui bouge et qui a une belle poitrine. Il aime les nichons. Il aime les fesses. Il aime les « nanas ». Oui. Il les aime. Comment expliquer cela ? Et bien, ça ne s’explique pas. Rodolphus à un immense besoin d’être reconnu et il aime l’être auprès de charmante jeune fille. « T’es bonne. Mais franchement pas futée. Et au pieu, ce n’est pas vraiment ça. A la prochaine, hein ! ». Voilà aussi qui est courant. Si Rodolphus aime charmer, il n’aime pas que cela. Son tableau de chasse compte déjà plus de trente conquêtes à seulement dix-sept ans. Oui, Rodolphus aime le sexe. Il ne faut pas cacher les choses. Si il aime ça, c’est parce qu’évidemment, c’est toujours lui qui a le dessus. Il décide d’absolument tout. La fille, le lieu, les positions. Tout. Oui, certaines personnes pourraient le qualifier de nymphomane… Mais ce n’est pas ça. Il s’agit juste de plaisir inassouvi. Un péché capital. La luxure. « Ne dite pas à un accro du sexe qu’il aime le sexe. Il le sait déjà. Dite lui où vous retrouver. »

P a s . d u . t o u t ;

Ouvert. Il est impossible de le nier. Rodolphus n’est pas vraiment ouvert. Pour ne pas dire, pas du tout. Pourquoi ? Et bien tout simplement parce qu’il n’en a pas envie. Bon dieu, il faudrait peut-être réfléchir, bande de nouille ! Il n’est pas ouvert parce que ça ne l’intéresse pas. En fait, peu de choses l’intéressent. Rodolphus est le genre de garçon qui ne vit que pour ses alliés, par conséquent, il est difficile pour lui, voire impossible qu’il décide de s’ouvrir aux autres. Il aime le confinement de son petit cercle fermé de sangs purs. Il aime être au centre des attentions de ce cercle et il n’a besoin de personne d’autre pour se sentir plus important qu’il ne l’est déjà. Rodolphus est fermé à tout parce que depuis qu’il est môme on lui à apprit que tout ce qui l’entourait était faux. Que tout cela n’était qu’une image qui avait été créé afin de voiler la vérité. Mais tout ça c’était quoi au juste ? Et bien, simplement la vie qu’il menait. Les gens qui vivaient autours de lui. La magie et le reste… Tout. Et putain, qu’est ce qu’il pouvait y croire à cette connerie ! Donc oui, Rod est fermé. Mais Rod est ouvert à toute invitation que de charmante jeune fille pourrait lui faire…

Invité

« •• E n f a n c e ;

LESTRANGE PÈRE – « Mon fils, tu vas avoir un petit frère ! T’es heureux, hein veinard ? »

Rodolphus n’avait qu’un an lorsqu’on son père lui annonça qu’il allait avoir un petit frère. Vous savez à un an, c’est le genre de chose dont on se fout pas mal. Et Rodolphus, étant déjà un enfant très capricieux, n’avait pas trouvé la nouvelle à son goût. Loin de là. Il avait carrément détesté. Parce qu’un frère cela signifiait nettement moins d’attention. Oui, même à un an Rodolphus comprenait déjà ce que représentait un petit frère. Pour cause, dès son plus jeune âge ses parents l’avait bourré d’idéaux à la con… Il savait que Rabastan serait plus important que lui. Et il pensait déjà qu’il allait devoir le détester. Oui, Rodolphus avait un problème avec le mot « amour ». Il était jeune et pourtant… Câlins, bisous et tous ces trucs de nunuches, il détestait. Tout comme il détesterait un petit frère. Il en était persuadé. Mais jamais il n’avait pensé que leur relation aboutirait à ce qu’elles sont aujourd’hui. Contre toute attente, Rodolphus aimait Rabastan. Bien plus qu’il n’oserait l’avouer. C’était son frère. Son sang. Son confident. En bref, il s’agissait un peu de toute sa vie concentrée en une seule personne.

Lorsqu’il eu deux ans, le petit Rodolphus avait déjà tout compris à la vie d’un Lestrange. Il savait à peine mettre un pas devant l’autre qu’il disait déjà « Sang de Bourbe ». Oui, il était jeune. C’était un enfant. Les enfants ne devraient pas avoir ce genre de mot en bouche. Les enfants devraient courir les fesses à l’air et crier qu’ils sont heureux. Les enfants devraient jouer. Ils devraient se salir sans penser que cela souillerait la réputation de leur famille. Les enfants devraient vivre sans penser au lendemain. Oui. Un enfant ce n’est pas fait pour haïr. Les enfants aiment tout et n’importe quoi. Tout le monde le sait. Depuis la nuit des temps c’est comme cela que ça se passe. Alors pourquoi Rodolphus n’eut pas cette chance ? La chance de mener une vie d’enfant heureux et épanoui ? Pourquoi devait-il sans cesse faire bonne figure ? C’était un garçon de famille de sang pu. L’apparence, la façon d’être, de penser… Tout ça avait énormément d’importance. Alors enfant ou pas. Humain ou pas. Amour ou pas. Rodolphus Lestrange devait rester propre et digne. Ce qui bien sûr il faisait chaque jour.

Trois ans. A trois ans on dit beaucoup de choses. A cette époque de sa vie, Rodolphus passait son temps à dénigrer les moldus et les sangs de bourbes. Il était dégouté par cette race inférieure. Il ne comprenait d’ailleurs pas ce que ces gens pouvaient foutre dans un monde tel que le sien. Rodolphus détestait ces gens. Il n’hésitait d’ailleurs pas à le crier sur tous les toits. Une profonde haine était déjà présente chez lui. Il aime ça. Se sentir supérieur. Si petit et pourtant déjà si incroyablement con. Parce que oui. Il avait déjà les idéaux de ses parents ancré en lui. Et il n’hésitait pas à les renforcer par sa propre haine. Haine qu’il restait pour tout. Rodolphus détestait tout ce qu’il entourait. Vraiment tout. Sauf Rabastan. Rabastan c’était son frère et lui, il méritait tout l’amour du monde. Oui, parce que lui aussi était un peu comme son frère. Il était pareil et pourtant si différent…

On dit que lorsque le temps passe, les choses changent. Oui les choses changent. Mais les gens pas. Non, ils évoluent. C’est ainsi qu’au fil du temps, Rodolphus devint de plus en plus insupportable. Premièrement, son père traitait sa mère comme une moins que rien. Une simple bonne. « Si papa le fait, je peux le faire. ». Bien sûr qu’il pouvait le faire. Il avait tout les droits. Alors Rodolphus commença à détruire tout ce que ça mère entreprenait. Absolument tout. Sans peine et toute sa vie sans doute, il se souviendra du jardin de roses. Sa mère avait passé des semaines dessus et Rodolphus en étant conscient. Longtemps il avait regardé sa mère s’afférer sur ses plantes. La lorgnant du regard il préparait déjà son mauvais coup. Il avait tout prévu. Quand elle eu finit et qu’elle avait prit une chaise pour s’asseoir et regarder le résultat final, Rodolphus âgé de 6 ans, se mit à tout piétiner. Il courrait et chottait dans toutes les plantes avec un immense sourire sadique aux lèvres. Quelle joie de la briser petit à petit. Cette femme vulgaire et insipide. Elle méritait. Tout en détruisant le si beau jardin de sa mère, Rodolphus hurlait « Il est beau le jardin de maman ! Regarde les jolies plantes vertes prendre des couleurs ! Tu vois maman, grâce à moi, elle devienne brune ! C’est mon premier tour de magie ! T’es fière maman. Pas vrai ? ». Oh que non elle n’était pas fière. Elle était brisée et elle avait peur de son fils. Non. De ses fils. Rabastan imitant Rodolphus à merveille. Ses enfants. Ses bébés. Oui. Si petits bébés étaient des monstres. « Bien joué maman ! ».

Comme je vous le dit, le temps passe et les gens évoluent. Ce fut donc sans peine que le petit Rodolphus devint grand. Un grand connard oui. A neuf ans, il avait toujours cette manie de détruire sa mère chaque fois qu’il le pouvait. Il rabaissait son père qu’il considérait comme un pauvre type sans importance aucune. Lestrange père avait bien quelque chose pour lui: son sang. Et c’était d’ailleurs la seule chose qu’il possédait pour lui. « Pauvre père. Si seulement il pouvait être comme ses charmants fils ! ». Charmants fils ? Et bien, nous ne pouvons pas vraiment qualifier Rodolphus et Rabastan de charmant fils. L’un était un véritable sale môme qui désirait voir le monde tourner autours de lui. L’autre était un brun morbide qui ne faisait que prendre exemple sur ce premier. Alors ils avaient sans doute une apparence tout à fait « charmante »… Mais l’attitude, ce n’était pas vraiment cela…

Lorsque Rodolphus eu onze ans, il fut le plus heureux des garçonnets. Poudlard. Sa maison. Là-bas, il serait comme un poisson dans l’eau. Il aurait le loisir d’apprendre la magie et d’en jouer sur ses camarades de classe. Il pourrait devenir le leader d’un groupe de Serpentard et puis surtout, il aurait tout son temps pour rabaisser ses camarades nés moldus. Il pourrait rigoler comme jamais auparavant… Cela promettait.

« Dis, écoute moi Rabastan, je vais devoir partir pour Poudlard, tu sais ? Et bien, je vais te confier une grande mission ! Il faut que jamais tu ne cesse d’importuner mère. Compris ? Super ! Donc, on se voit rapidement promis ! Et puis l’an prochain tu me rejoints et alors ce sera les Lestrange contre tous. Pas vrai ? Je t’adore microbe. Occupe-toi bien de mômaaaaaan. »

Des paroles pleines de sagesse.

Invité

« •• A d o l e s c e n c e ;

Première année à Poudlard ;

Ennui, ennui, ennui. Le petit Rodolphus ne pouvait que s’ennuyer. Ile ne pouvait emmerder sa mère, elle n’était pas là. Il ne pouvait préparer de sales coups avec Rabastan, il n’était pas là. Il ne pouvait rabaisser son père pour les mêmes raisons. Qu’avait-il le droit de faire ? Ennuyer les sangs de bourbe sans Rabastan ce n’était pas marrant et cela perdait tout son sens. Rodolphus n’aimait pas ça. Être le seul Lestrange à Poudlard ce n’était pas marrant. C’était même démoralisant. Il ne voulait qu’une chose, pouvoir enfin jouer à ses jeux favoris. Il fallait donc que Rabastan entre à Poudlard !

Deuxième & Troisième années à Poudlard ;

Ah ! Rabastan avait rejoint Poudlard à son tour et tout les deux pourraient faire de mauvais tours. Le bonheur de Rodolphus s’installa enfin en lui. Il pouvait s’amuser à souhait. Il rabaissait tout les gens qu’il estimait être moins important que lui et trouvait cela marrant. Oui c’était ce qui plaisait au petit garçon. S’amuser des autres. Il éprouvait tellement d’excitation à être détesté. Excitation. Un mot qu’il connaissait bien le petit Rodolphus. Il était toujours un état d’excitation. Exciter de nerf, exciter de joie. Excité, excité, excité. Oui. Il l’était. Se faire détester. Une passion absolue. Il adorait ça. S’il était détesté, c’est parce qu’il était supérieur. C’était sa façon de voir les choses… Il n’y avait rien à ajouter sur ces deux années. Puisque après tout, il n’y avait eu que cela. Rien de plus. Les deux années il les vécut de cette manière.

Quatrième année à Poudlard ;

Lors de cette quatrième année, Rodolphus s’endurcit encore plus. Cependant, son cœur chancela un peu. Oui, il avait enfin rencontré sa future épouse. Longtemps on lui avait promis de lui montrer sa promise et longtemps il se demandait qui cela était. Puis, il l’avait vue. Ses si beaux cheveux noir lui tombaient sur les épaules. Un si joli visage. Ses deux prunelles vertes… Dès qu’il les voyait il éprouvait un sentiment nouveau… Oui, il avait vu Bellatrix. Oui, il s’en était immédiatement amouracher. Et pourtant… L’amour ne fait pas des miracles. Peut-être que dans le cas de Rodolphus, il se passe l’inverse ? En tout cas, se dulcinée était aussi étroite d’esprit qu’il pouvait l’être.

Cinquième année & Sixième année à Poudlard ;

Les deux années les plus passionnantes que le beau Lestrange avait passées. Il entretenait une relation plutôt courante avec la jolie Bellatrix et pourtant il n’hésitait pas à être volage. Oui, il avait un nombre incalculable de conquête. Il aimait pourtant Bellatrix. Mais c’était un défit pour lui de mettre beaucoup de fille de Poudlard dans son lit. Et bien sûr, un garçon comme Rodolphus à plus d’un tout dans son sac et généralement, il n’avait pas grand-chose à faire. La plus résistante de toute ses conquête fut Bellatrix. Encore aujourd’hui il essaye de la dompter. Mais elle reste encore un peu froide avec lui. Elle connait ses nombreux faux pas et cela doit sans doute la gêner un peu… Mais l’une des devises de Rodolphus est « Il faut que jeunesse se fasse… » et il sa propre manière de l’appliquer…

Septième année à Poudlard ;

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Bienvenu

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Bienvenuu =)*

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Bienvenu parmis nous =D
Bon courage pour ta fiche

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Validé, bien sûr!*

& Serpentard.

» j'ai comme envie de me faire sauter les plombs.RODOLPHUS