Calley - « C'est comme ci, c'est comme ça »

Tout le monde le sait, le sens de l’orientation de Calley n’est pas très développé et cela depuis bien longtemps. C’est surement grâce à ça qu’elle rencontra Rose. Pourquoi grâce ? Parce que Calley n’a jamais regretter de s’être perdu à son arrivé à Poudlard. Alors qu’elle criait des SOS comme une petite folle, Rose apparut. Elle se moqua d’elle avant de l’aider. Puis, avec un peu de temps, elles se découvrirent de nombreux points communs. Elles ont un an d’écart, mais peu importante, cela ne les empêcher d’être très, très proche. Calley ne verrait plus ses journées sans Rose. Qu’elle soulagement de ne pas se sentir seul folle dans ce château.

Que faisait-elle dans cette salle vide ? Ce n’est pas difficile de le savoir. Alors qu’elle préparait une petite farce à l’un de ses professeurs, Calley a entendu du bruit et à donc tout arrêter. Elle a jeté un petit coup d’œil dans le couloir et elle comprit vite que l’une de ses camarades allait se faire attrapée. Sans une, ni deux, Calley attrapa la demoiselle et la tira dans la salle. Nez-à-nez avec Elisabeth, elle lui demanda de se taire. Les professeurs passèrent devant la salle sans même se tourner. Sauvé ! Depuis, les deux jeunes filles sont devenus de vrai partenaire de farce. Le truc, c’est que quand on n’est pas discrète un jour, on l’est toujours. Du coup, elles passeent leur heure de colles ensembles et la bonne ambiance est assuré.

Mais quel chiant quand il s’y met ! Heureusement que Calley est une grande gamine, car jamais ça n’aurait marché entre eux. Ils sont toujours là, à se faire des blagues qui font parfois rire qu’eux. Mais ce qui les lie vraiment, c’est bien leur amitié. James en vient même à protéger Calley de toute sorte de dangers. La demoiselle lui hurle qu’elle n’a pas besoins de lui, ce qui est vrai d’ailleurs, mais tout le monde connaît Potter : aussi borné qu’un âne ! Le truc, c’est que la gryffondor n’arrive jamais à lui en vouloir. Alors une petite farce et on repart.

Sirius. Quelle fille n’est pas sous son charme ? Presque toutes les nanas de l’école bavent en le voyant et même si elle ne s’intéresse pas plus que ça au mec, Calley en fit partie. Pourtant, on ne peut pas la qualifier d’idole baveuse et pot-de-colle. Elle est assez discrète et ne sautera jamais sur Sirius juste pour pouvoir le toucher ou lui parler. Le truc, c’est qu’elle risque sa vie parfois. Criant comme une petite folle des surnoms débiles pour appeler le maraudeur devant une foule de fan. Peu importe. Il est de bonne compagnie, même s’il est chiant en la traitant de « petite ». Ils n’ont qu’un an d’écart et Sirius le lui fait bien remarquer. Ingrat !

Beaucoup ne traine pas avec Calley parce qu’elle fait trop gamine. Que faire d’une fille aussi puérile qu’elle ? Heureusement, il y a des gens aussi joueur qu’elle. Alors qu’elle se croyait seule dans un couloir et qu’elle avait eut la folle idée de chanter a voix haute tout en danser comme une petite folle, Zack apparut. Le jeune homme aurait pu se moquer d’elle ou encore raconter à tout le monde qu’elle danse super mal, mais au lieu de cela, il la rejoignit et commença à danser avec elle. Tout ce finit par une fou-rire partagé. Calley adore Zack, car il n’a aucune honte à faire le fou. Depuis, les deux élèves s’entendent très bien, en venant même parfois à remettre leur séance de danse.

Même s’ils restent ensemble et que les maisons n’ont aucunes importance pour eux, ils ont beaucoup trop de différences et il arrive souvent qu’ils se disputent. Cela en est devenu une habitude et aucun des deux ne veut s’excuser avant l’autre. Le truc, c’est que ça fait toujours un peu mal de perdre un ami. Calley accuse Jayden d’avoir honte d’être avec eux et le garçon le prend assez mal, même si au fond, ce n’est que la vérité.

Calley hurle a ceux qui veulent bien l’entendre qu’elle déteste Lyle. Sans bonne raison, car quand on lui demande pourquoi, elle répond par un regard de braise. Mais sachez une chose, ce jeune homme, elle l’adore. Elle l’adore tellement qu’elle se perd parfois elle-même. Attiré par lui, elle se cacher derrière ce masque de « méchanceté » pour cacher à tous le fait qu’elle peut rougir à ce sourire qu’il lui fait. Cela doit surement dérouter Lyle, mais la demoiselle n’avouera jamais, oh grand jamais, qu’elle l’aime beaucoup ! Du coup, elle vient à faire croire un gros mensonge.

Il n’y a rien à dire sur lui. La bonne humeur de monsieur n’était pas au rendez-vous et il eut le malheur de mal parlé à Calley. Qu’avait-il pensé ? Qu’elle partirait sans rien dire ? Le truc, c’est que la gryffondor lui répondit aussi sèchement et le fusilla du regard sans même avoir peur qu’il lui arrive quelque chose. Certes, elle aurait pu mourir ce jour là, car la fureur d’un serpentard de dix-sept ans contre une gryffondor de quinze et de plus une né-moldue aurait pu faire très mal. Depuis, elle l’ignore, prête à lui répondre encore plus froidement si elle s’en sent obligé, mais il a l’ait un peu plus cool, alors elle ne lui en veut pas, mais ce méfie tout de même de lui. Avec les serpentards, il vaut mieux s’attendre à tout.