CARPE DIEM! ~Lyle Adam Fitzgerald

Lyle Adam Fitzgerald

Les cons ça ose tout. C’est même à ça qu’on les reconnaît.

ft. Mathias Lauridsen

# Age : Seize ans. # Année d'Etude : Sixième année. # Ascendance : Né moldu (et fier de l'être) # Origines : Anglaise et française. # Baguette Magique : 24,7 centimètres ; bois de Saule Pleureur ; plume d'Abraxans. # Patronus : un Fennec. # Epouvantard : Un serpent. # Sort Favori : Waddiwasi

# Qualités principales : Gentil, généreux, sociable, amusant, franc, persévérant, souriant, à l'écoute, courageux.

# Défauts Principaux : Maladroit, rêveur, franc, grincheux, pas très intelligent, égoïste, rancunier, jaloux, gourmand, susceptible, a tendance à se mettre dans des situations délicates.

Pour chaque question, veillez ne laissez que la réponse qui correspond le mieux à votre personnage.

# Question 1 : Alors que vous marchez tranquillement dans les couloirs déserts en direction de votre salle commune, voilà qu'une ombre se découpe sur les murs, effrayante et appartenant sans aucun doute à une créature venue des tréfonds des ténèbres pour vous enlever.

b. Il s'agit certainement d'un élève voulant vous faire une mauvaise farce. vous revenez sur vos pas.

# Question 2 : Dans le parc, tout est calme. Les oiseaux chantent, le soleil brille... Et Miranda Keller arrive en courant vers vous, en larmes : son petit ami a mis fin à leur relation parce qu'il était subitement tombé amoureux d'une autre fille, à ce qu'il lui a dit. Vous soupçonnez le pauvre garçon de ne plus supporter ce pot-de-colle plus bavard qu'un perroquet.

d. Vous affichez une mine faussement compatissante et lui avouez qu'il fallait le comprendre, le pauvre: elle était réellement invivable.

# Question 3 : Catastrophe! Vous avez complètement oublié de faire les 3 rouleaux de parchemins demandés par le professeur de métamorphose et le cours est dans moins de vingt minutes.

c. Les mains dans les poches, vous allez en cours avec un sourire et déclarez au professeur que vous auriez aimé le faire, mais que les circonstances ont joué contre vous.

# Question 4 : Voldemort en personne frappe à votre porte (enfin... lui jette un sort de destruction, mais à quelques différences près...) et vous demande de faire partie de ses fidèles étant donné votre énorme potentiel magique.

d. Vous ne faites pas attention à sa proposition, réfléchissant à la façon dont vous allez bien pouvoir remplacer votre pauvre porte.

# Question 5 : C'est l'heure de votre cours de Sortilège et vous êtes très en retard. Vous courrez dans les couloirs déserts lorsque vous entendez un cri. Un élève git par terre, sans doute inconscient.

c. Il faudrait appeler un professeur, mais vous ne pouvez laisser l'élève seul. En désespoir de cause, vous lui donnez de petites tapes sur les joues.

# Zack est passé dans le coin.



Spoiler:

« c’est dans ses rêves que l’homme trouve la liberté, cela fut, est, et restera la vérité. »



Ma mère disait que j’étais un petit ange dans toute sa routine, que j’étais son soleil, son étoile, sa pluie fraîche lors d’une grosse canicule, son radiateur lors du plus rude des hivers. Elle disait que j’étais quelqu’un exceptionnel, et que même si je ne m’en rendais pas compte aujourd’hui, je penserais pareil qu’elle un jour ou l’autre.

Onze ans après, je me demande toujours ce qu’elle entendait par là. A part être un sorcier (et je suis certainement un des plus catastrophiques), je ne pense pas être exceptionnel, comme elle le disait. Moi, ce que je vois, c’est un imbécile qui ne pense qu’à s’amuser et à épater les filles et qui rate toujours son coup. Je suis terriblement maladroit, j’en ai conscience. Non pas que je me prenne les pieds dans tout ce qui bouge, mais j’ai le chic pour toujours dire ce qu’il ne faut pas. Tiens, l’autre fois, c’était à table, lors d’un dîner avec le bras droit de mon père. J’avais voulu me montrer poli, devant lui et sa femme, voir presque distingué.


LYLE – Alors, Monsieur Woodstock, vous et votre femme êtes mariés depuis longtemps ?
MONSIEUR W. – Assez, on a fêté notre vingt sept ans de mariage le mois dernier !
LYLE – Et vous n’avez pas d’enfants ?

Bien entendu, je n’ai su qu’après que Madame Woodstock ne pouvait pas en avoir et que c’était un sujet très tabou dans leur famille. Je me souviens du silence qui avait suivi mes paroles, et des larmes qui montaient et menaçaient de s’écouler lentement sur les joues de notre invitée. Depuis, je n’essaie plus d’être intéressé par qui que ce soit venant des affaires de mon paternel, et je crois que ce dernier a été très heureux de voir que j’ai cessé de discuter avec ses invités par moi-même. Ainsi, il pouvait s’occuper d’autre chose que de me sermonner.
Mais malgré toutes mes gaffes orales, j’ai quand même, je pense, toujours été quelqu’un de gentil et généreux. J’aime bien aider, et j’aime me faire de nouvelles connaissances. Certes, mon humour est parfois douteux et peut faire fuir rapidement les gens, mais certains sont conquis par celui-ci ! Bon, j’avoue qu’il faudrait que j’arrête avec mon histoire pseudo amusante sur la différence entre un hippogriffe et un sorcier (je suis sûr que vous voulez la réponse, maintenant), mais lorsque je suis à court d’idées de sujet de conversation (soit, je l’accorde, c’est très rare), c’est infaillible pour relancer la parlotte ! Enfin, ça part plutôt sur des « Lyle, il faut vraiment que tu arrêtes d’être aussi idiot » ou bien des « J’ai pas compris ce qu’il y avait de drôle… », Mais bon, j’aurai essayé. D’ailleurs, en parlant de cela, je suis quelqu’un qui persévère. Non, je ne lâche pas aussi facilement le morceau. Ca en devient presque maladif, je suis comme ça. Hors de question de laisser en plan quelque chose que je viens de commencer ou d’abandonner une quelconque idée.

Que dire d’autre, sinon ? Je suis un grand rêveur et je suis assez paresseux… Déjà, je suis quasiment nul en magie. Parfois, je me demande vraiment ce que je fiche à Poudlard. Je n’en avais jamais entendu parler, d’abord, et en plus (comme je le disais) j’obtiens le plus souvent des D. Je suis douée en histoire de la magie, c’est tout. Tout ce qui est pratique, laissez tomber. Je risquerais de tuer quelqu’un en essayant de faire voler une plume. J’exagère ? Non ! Jamais. Je suis juste franc avec moi-même ! Je suis très franc, moi. Parfois un peu trop…

Je vous ai dit aussi que j’étais extrêmement rancunier ? J’en ai pas l’air, hein, derrière mon sourire omniprésent, mais je déteste qu’on s’en prenne aux autres, et à moi aussi bien sûr. Lorsque ce n’est pas justifié, s’entend. Je n’en viens pas souvent à la baguette, je préfère me servir de mes mains, mais bon… Disons aussi que je suis un brin susceptible et que je peux partir au quart de tour. Et puis, je suis assez jaloux… Bref, sinon j’adore manger ! Ha ça, je suis un vrai ventre sur patte. Cela, depuis tout petit. Ma mère disait que j’allais exploser. C’est pas faux, gamin j’étais un peu bouboule. Mais j’ai tout perdu !

« et ne pas, quand viendra la vieillesse, découvrir que je n’avais pas vécu. »



LYLE – Maman, comment tu as rencontré Papa ?
MME FITZGERALD – C’est simple. Il était bourré et il m’est tombé dessus dans la rue alors que j’étais avec mon petit ami de l’époque.
LYLE (après avoir demandé ce que signifiait ‘bourré’) – Et tu as préféré te marier avec le monsieur qui a vidé treize verres de vodka plutôt qu’avec celui qui te donnait la main ?
MME FITZGERALD – Quinze, plus précisément, d’après la facture. Sinon, comme réponse à ta question, je te dirais simplement Oui, parce que justement, ce n’était pas celui qui me donnait la main.
LYLE – Ha les femmes…


Ma mère avait beaucoup rit, ce soir-là. En fait, je ne l’avais jamais vu aussi radieuse. Je me souviens encore de ses longs cheveux châtains aux reflets roux, qui ondulaient et s’écrasaient sur mon oreiller, de ses lèvres qu’elle avait maquillées d’un léger rose, de ses yeux bleus qui me fixaient avec amour. Puis de ses mains, ses doigts fins qui s’étaient joint aux miens. J’aurais du rester éveillé toute la nuit, cette fois-là. J’aurais du l’empêcher de partir, la supplier de rester. Elle aurait accepté, sans aucun doute. Elle aurait soupiré, aurait dit au plafond « mais qu’est-ce que j’ai fais pour mériter ça ? » et elle se serait glisser sous les couvertures et m’aurait raconté d’autres histoires. Au lieu de ça, je me suis laissé emporter dans les bras de Morphée et je ne l’ai même pas vue partir pour cette satanée soirée.

Je suis né le trois mars 1960, à Londres même. Ma mère était française et lors d’un voyage en amoureux avec son petit ami de l’époque, elle s’est rendue à Oxford et elle a rencontré (de la façon dont vous savez) mon père. Elle ne m’a pas raconté comment elle avait expliqué à l’autre homme qu’elle le quittait, mais elle a du le faire puisque j’ai pointé le bout de mon nez quelques années plus tard. Elle a déménagé pour mon père, elle l’a aidé avec ses problèmes financiers, ont tous les deux montés une entreprise… Elle a été sa bouée de sauvetage une fois. Elle le fut, une deuxième fois. Ce soir-là, justement. Un certain quatre janvier 1967, ma mère s’est jetée sous une voiture en poussant violemment mon père sur le côté.

Et elle m’a quittée. A deux heures trente six du matin exactement. Au moment même où j’étais en train de faire un cauchemar. J’avais sept ans.

Je n’ai jamais été très proche de mon père. En fait, je crois que je ne le serais jamais. Ca bloque, entre nous. De mon côté, je n’apprécie pas son côté trop stricte, trop conservateur. J’ai du mal à comprendre comment ma mère, une femme aussi énergique qu’elle, aussi rayonnante a pu finir avec un gars comme lui. Il a constamment l’air triste, il affiche sans arrêt une mine sérieuse, réfléchie. Il est terne, silencieux et désagréable. Peut-être était-il différent avant. En tout cas, il n’a jamais été aussi sympathique que ma mère le fut avec moi. De toute manière, avec lui, les rêves, c’était proscrit. Moi qui passais mon temps à m’imaginer des choses, à voir comment je serais, ce que je serais… avec mon père, ce fut vite terminé. Pour lui, je n’avais que trois choses à faire : me tenir correctement, avoir de bons résultats, et finir par reprendre l’entreprise lorsqu’il rendra son dernier souffle. Tu parles d’un avenir radieux.

Je n’avais aucune envie de reprendre son affaire, de devoir côtoyer le genre de personne qu’il voyait tous les jours, de devoir gérer les dettes, les dépenses et toutes ses choses auxquelles je ne comprenais strictement rien. Rien de m’emballé dans tout ce qu’il me décrivait. Une fois, je lui ai dis que je ne voulais. Une fois. Une fois où il a trouvait les mots pour me faire ravaler ma langue.

LYLE – Papa… ce n’est pas ce que je veux faire. Je ne sais pas ce que je veux faire, mais ce n’est pas ça.
MR FITZGERALD – Ha oui ? Et est-ce que tu penses à ce qu’aurait voulu ta mère ?

Je ne me suis jamais aussi senti si mal que lorsqu’il m’a balancé ça. J’aurais bien voulu lui éclater la tronche. Mais je l’ai laissé me tourner le dos et partir rejoindre deux collègues. Je sais que ma mère voulait que je fasse quelque chose qui me plaisait. Mais j’avais l’impression que quoi que je dise, mon père trouverait quelque chose pour me le retourner bien dans la face. PLAC. Pire qu’une bonne grosse claque.

Le truc, c’est que j’ai reçu une aide précieuse. De la part de Poudlard. A mes onze ans, j’ai relu au moins six fois la lettre qu’on m’avait envoyée, si ce n’est pas plus en fait. Même si je n’y croyais pas vraiment, je me disais que ça ne me coûtait rien de me rendre là-bas. La réaction de mon père ? Il a éclaté de rire et a manqué de jeter la lettre à la poubelle. Forcément, je lui ai demandé gentiment qu’on s’y rende. Bizarrement, il a accepté sans rechigner. Apparemment, ça le faisait bien rire, toute cette histoire. La tête qu’il a tiré quand il a découvert que tout ça existait réellement ! Je ne l’ai jamais vu aussi bleu. Sans le savoir, j’avais réussi à vaincre mon père sur le coup de l’avenir. Par contre, je n’en ai jamais eu aussi peur. La magie, ce n’est pas spécialement mon truc, vu mes résultats et mes échecs à répétition depuis mon entrée là-bas. Je n’aime qu’une chose : l’histoire de la magie. J’y apprends beaucoup de chose sur le monde de Poudlard et des sorciers. Je crois que je suis le seul à ne pas m’y endormir…

Ouai et Johny Depp alors ?! =O
Bienvenue \o/

Merci à vous deux

Biienvenue !
Mathias ♥
Je veux un lien après, obligé.

Merci Mike : D
Ho Lily Je t'en réserve un, sans problème ! J'aime beaucoup ton avatar, au passage

Mercii beaucoup :D
Pour le lien & pour le vava.
Mais c'est plutôt le (ou la) graphiste qui faudrait complimenter.

Bienvenue

Merci Elisabeth ♥ ♥
Je profite de ce post pour annoncer que j'ai, ô bonheur, terminé ma fiche. En espérant qu'il n'y ait pas de problèmes. Je suis à l'écoute, sinon (:

Bienvenue sur Cracbadabum.
Il y a une petite erreur dans ta fiche, en effet tu parles de 2001 mais nous sommes en 1976 sur le forum...
Ensuite j'ai des doutes pour ta maison. Serpentard, pas possible, Serdaigle de même donc reste Gryffondor et Poufsouffle. Je pencherai tout de même plus pour Gryffondor.

Ha oui en effet, désolée ! C'est modifié (:

Bien, bien, bien...
FICHE VALIDEE. Bienvenue à Gryffondor Mr Fitzgerald.
Bon jeu sur le forum, je te laisse jeté un petit coup d'oeil dans "listes", il pourrait y avoir des petites choses qui t'intéresseront...
Amuse toi bien sur Cracbadabum

Merci beaucoup !